ça me stresse de parler de moi comme ça alors je pense que je vais faire rapide, j'ai pas de pseudos attitrés, j'aime trop changer j'ai vingt-trois ans, même s'il faut que je réfléchisse parfois quand on me demande j'habite en france, je regarde un gros, gros paquet de série, je lis encore plus que je ne regarde de séries et puis ça résume bien ma vie
lou, marylou lotz
i came here looking for a great perhaps.
Nom lotz, sans contrefaçon. court, précis, concis, tout comme l'attention du patriarche à l'égard de sa géniture. Prénom(s) marylou. un brin pompeux, un peu hautain, parfait pour eux. Surnom(s) lou. passé à la postérité. on en use et abuse. Âge écrire ici. Date de naissance un premier septembre. Lieu de naissance memphis. Nationalité américaine. Occupation animatrice radio en début de nuit (bénévole dans plusieurs associations). Statut en instance, allez savoir de quoi. Orientation à tendance bisexuelle, bien que cela reste assez rare, c'est une femme à homme. Classe sociale moyenne, comme elle en prend grande fierté.
Groupe jailhouse rock. Raisons c'est une idéaliste lou. elle veut plus, tout le temps, pour tout le monde. elle voit tout en mieux, elle en rêve, elle en crève. Rêves et ambitions lou elle rêve de tout. d'un monde plus équitable, de déraciner tate de son petit coin de rue et de lui trouver un boulot, que l'eau ne soit pas si rare et que ses cheveux arrêtent de n'en faire qu'à leur tête et de s'échapper de sa queue de cheval. elle rêve d'un monde où la magie fait partie de l'équation et où chacun se sentirait un peu plus responsable. elle rêve de trouver sa place, pas juste de continuellement la chercher. elle veut juste aider lou. comme elle peut, du haut de ses petites épaules. Anecdotes elle a cette tendance névrotique à idéaliser les métiers à uniformes. tous y passent, pompiers, policiers, médecins, soldats. ▷ elle a cette facilité avec les enfants, ce sourire facile et cette patience désirée. et on lui répète encore et encore qu'elle devrait travailler dans cette branche. seul soucis, elle n'apprécie pas les enfants lou. trop bruyants, trop agités, trop ennuyeux. ▷ elle donne cette impression que rien ne lui fait peur, que rien n'est hors de sa portée. mais la vérité c'est qu'elle a la trouille lou, ça lui prend aux tripes, ça lui glace le sang mais elle la laisse pas gagner. jamais. ▷ elle a cet espoir fou qu'un jour elle pourra réparer les choses avec sa sœur, arrondir les choses, oublier la rancœur. ▷ ses parents l'appellent à noël seulement. parfois. ▷ elle a cette passion un peu tordue pour le scrapbooking et garde chaque petits objets qui parcourent son quotidien. ▷ elle avait cette tendance à filer tout son argent de poche à greenpeace étant plus jeune, ce qui avait pour finalité d'enrager son père. ▷ elle a déjà participé à une manifestation femen lou. terrifiée, peut-être, mais nue, absolument.
personne ne la comprend lou, pas même elle. elle dit ne t'accroche pas et s'attache comme une moule à son rocher. elle a quitté son cercle familial mais continue à se pointer chaque semaine à leur restaurant préféré. elle chante à pleins poumons dans la rue et chuchote dans les bibliothèques. elle discourt sur la déperdition des ours polaire et boit comme un trou. c'est la belle et la bête. un jour oui, un jour non. tantôt rêveuse, tantôt terre à terre, elle n'est pas facile à suivre lou. la seule chose que l'on sait c'est qu'elle n'a jamais cherché la facilité. elle la craint lou, elle le craint ce moment où tout ira bien. où elle ne pourra s’empêcher de tout gâcher. encore. et encore. et encore.
“i was in love, in lust, in something with him and all logic, all fact, all reality, none of that seemed to matter, not to my body and not to my heart.” En un soupir, elle pose sa tasse de thé sur le comptoir pour attraper son portable. - Hey. Elle chuchote plus qu'autre chose après avoir prit connaissance de con correspondant. - Tu m'as dit que vous étiez plus ensemble. L'ambiance est clairement plus à la fête de l'autre côté de la ligne. - On est pas ensemble. Il n'y a jamais vraiment eu de plus, parce qu'il n'y a jamais vraiment eut quelque chose. - Il m'a cassé la gueule Lou. Il l'engueule, par téléphone interposé. - Il t'a pété un truc? Elle demande, pas acquis de conscience plus qu'autre chose. - Il m'a pété la tronche. Il rabâche, tirant un soupir à Lou. - P't'etre que si tu t'étais pas vanté à tous tes potes de m'avoir défoncée, ce serait pas arrivé. Il faut avouer qu'elle a du mal à lui trouver des excuses dans la situation présence. Pas qu'elle en cherche particulièrement, au demeurant. - Mais c'est un fou ce type. A croire qu'il a décidé de converser tout seul, à croire qu'il n'a pas saisi le concept du téléphone. - T'es pas sa propriété putain. Il continue à râler seul quelques secondes, assez pour que Lou se décide à raccrocher. Reposant son portable sur le comptoir et reprenant sa tasse, elle lève les yeux vers son compagnon du soir. Torché jusqu'à l'os, il ne risque pas d'émerger avant de longues heures. - Qu'est ce que je vais faire de toi Sunny hm? Connard. Elle lui lance, dans le vent. Finissant son thé, elle laisse sa tasse choir sur le comptoir et rejoint sa chambre, bien décidé à glaner deux trois heures supplémentaires de sommeil. Au passage, elle dépose un baiser sur le front du jeune homme, réitérant son insulte précédente.
her.
“design your own universe, make your own stars, write your own stories, and create your own destiny.” Non. Elle a dit non et ça lui prend, ça fait mouche. C'est lui, c'est à cause de lui. Il n'est pas là, n'est pas venu depuis des mois. Elle n'a pas été le chercher mais elle ne peut pas partir. Elle ne peut pas être avec lui, ne peut pas être sans lui. C'est sans fin, sans début. Ça la bloque là, en plein milieu. Elle stagne Lou. Elle dit non, non, non parce que son cœur est en pierre. Parce que son cœur est en verre. - Pourquoi t'as dit non Lou? Qu'on lui demande, une fois, deux fois. Et il lui demande. Avec ses yeux ouverts sur son âme, avec ses émotions à disposition. - J'peux pas. Qu'elle lui répond, haussant une épaule, l'autre portant le poids du monde. - Pourquoi? Il répète, se rapprochant, s'installant sur son bureau, déplaçant sa tasse de thé. - Pour ça. Elle se lève, se coince entre ses jambes ouvertes et écrase ses lèvres contre les siennes. L'attrape pas le col ouvert, l'attire contre elle, plus près, encore plus près. Ce n'est pas le même, pas le bon mais c'est le mieux. C'est vrai, c'est là. C'est vivant. Elle l'a prit par surprise, il reste immobile, jusqu'à ce qu'il la prenne d'assaut. Ses mains glissent contre la peau de son estomac, sa langue écarte ses lèvres, ses jambes l'enferment dans un étau de fer. Un gémissement brise le silence, la voyant incapable de trouver son origine, lui, ou elle. Et alors il s'écarte, semble vouloir fouiller son âme de son regard océan. - Marylou. Il murmure, tout contre son cou. - Lou, lou. Il répète, encore et encore contre son corps nu. C'est facile. C'est là. C'est pas le bon mais ça fera l'affaire.
- Et sur ces belles paroles, je vous retrouve demain, même heure, même endroit, même combat. Sortez couvert. Un sourire étire ses lèvres alors qu'elle pose ses yeux sur Ben, le type de la matinale. Ils ne font que ça, se croiser. Encore, et encore. Jusqu'ici, ils ont du se formuler trois phrases, allant de bon courage à bonne nuit. Mais elle l'aime bien Lou, à Ben. Il a une voix apaisante. Ce qu'elle ne risque pas de lui avouer. Comme elle ne risque pas de lui dire qu'elle s'endort au son de sa page sport chaque matin. Elle retire son casque, recule sa chaise, se préparant déjà à leur rituel pour le voir dévié. - Il y a un type pour toi devant. Elle prend à peine conscience du ton amer de Ben, sachant pertinemment qui se trouve être le planton à son studio à cinq heures trente du matin. - Bon courage. Elle murmure tout de même avant de quitter le studio, le cœur battant. Elle ne lui lance qu'un regard, rapide, acceptant à peine sa présence. Mais quel regard. Elle prend tout, elle note tout. Les cernes qui lui ombrent le visage, cette barbe qu'il peine à raser, cette chemise qui a vu de meilleurs jours. Ça fait plus de deux mois cette fois. Deux mois et quatre jours. Mais qui compte? Elle ne se jette pas dans ses bras Lou. Elle continue simplement son chemin, ignorant son sourire de tombeur et son regard de chien battu. Elle veut pas le voir Lou. Elle voudrait juste qu'il crève, dans un coin, n'importe où, qu'elle puisse crever avec lui. Elle ne veut pas le voir. Elle ne veut tellement pas le voir qu'elle doit faire appel à toutes ses forces pour pas le bouffer du regard. Elle ne veut tellement pas le voir que son cœur a manqué deux battements en le voyant. Elle ne veut pas le voir. Elle en crève. - Elle s'est rendue compte que t'étais qu'un gros con et t'as jeté? Elle lui lance, Lou, continuant tranquillement son chemin. Elle sait très bien qu'il est conscient de chaque changement de son souffle, de chaque rougissement, de chaque regard. Elle berne personne, à commencer par elle même. - C'est le jour de réduction des putes de l'autre côté de la rue, c'est ça? Elle raille, poussant la porte avec une telle conviction qu'elle doit la bloquer pour ne pas se prendre le revers. - Qu'est ce que tu fais. Elle n'a pas le temps de terminer qu'elle se retrouve contre le mur, agresser par des lèvres, ses lèvres. Putain de connard. Elle le repousse. Une fois. Deux fois. Avant d'attraper ses cheveux pour l'attirer plus encore à elle. Putain de Sunny. Ça la tue de pas être capable de lui dire non. Ça la tue qu'il la contrôle d'un baiser, d'un regard, de sa seule présence. Ça la tue petit à petit, de l'intérieur. Mais tellement moins que quand il est pas là. Tellement moins.
Debra Harrison
▷ Messages : 106 ▷ Date d'inscription : 17/04/2015 ▷ Crédit avatar : wildworld ▷ Avatar : N. Peltz▷ Âge : 22 y.o ▷ Occupation : guide au musée ▷ Statut : Mariée à son seul et unique amour ▷ Orientation : Hétérosexuelle
i want us to become a language
for euphoria, an alphabet of limbs
▷ Âge : 22 y.o. ▷ Occupation : Rire à gorge déployée. Danser jusqu'à l'étourdissement. Coudre jusqu'à pas d'heure, puis parader en ville. Mettre en danger le coeur de son pauvre babysitter. ▷ Statut : Libre comme l'air, surtout celui que Leo respire. Parce que Leo hante sa jolie tête, même quand d'autres mains que les siennes l'effleurent. ▷ Orientation : Bisexuelle, pourquoi bouder son plaisir ? Le bonheur à plus d'une saveur et Nanna est gourmande.
Ouuuuuuh comme elle est mignonne et puis j'adore ta plume, ton personnage, tout. Courage pour la suite et bienvenu ! Vu comment Lou ne supporte pas les enfants, compte sur moi pour débouler venir t'embêter, fu fu !
en tant qu'amie d'enfance de Sunny, nous faudra un lien bienvenue sur le forum, bella est un excellent choix et puis, bonne continuation pour ta fiche
Diego Rodriguez
▷ Messages : 55 ▷ Date d'inscription : 18/04/2015 ▷ Doublons : Not yet. ▷ Crédit avatar : Philia ▷ Avatar : Benjamin Thomas Barnes.▷ Âge : Vingt-sept ans. ▷ Occupation : Plongeur dans un restaurant minable, griffonne quelques trucs sur son carnet. ▷ Statut : Fiancé à une jeune femme qui veut le sauver de l'expulsion. Il a parfois l'impression d'être un simple cas social à aider, ou un simple immigré paumé dans ce monde de chacals. ▷ Orientation : Femme, femme, femme, fais nous voir le monde. ▷ Age : 35